• Panorama Ecommerce
  • 17 Conseils SEO « Search Engine Optimization » pour optimiser votre positionnement dans les moteurs de recherche
  • M-marketing : indicateurs clés du marketing sms et livre blanc du marketing mobile
  • Tout sur Google

On reparle des touchbooks BtoB avec le Blackberry PlayBook

0
Amine Hmaza

Après Cisco et son Cius (cf. Cisco lance Cius, le premier touchbook BtoB), HP et sa future Enterprise Tablet, c’est au tour de RIM / Blackberry de sortir un touchbook BtoB : le Playbook. Annoncé en début de mois, ce nouveau venu dans la gamme des smartphones de la marque canadienne confirme une tendance détectée il y a quelques semaines : la montée en puissance des touchbooks dans un contexte d’entreprise.

Inutile de vous détailler les caractéristiques techniques de cette machine (écran 7 », 2 webcams, Wi-Fi a/b/g/n…) car d’autres l’on fait mieux que moi : RIM Reveals Its iPad-Killer, The BlackBerry PlayBook.

Premières images du touchbook BtoB de Blackberry

La question qui nous intéresse est plus de savoir ce que l’on va faire de ces nouveaux terminaux. Tout comme les smartphones se sont petit petit imposés comme l’outil indispensable du cadre (pour être en permanence connecté à ses emails, son calendrier…), le touchbook va-t-il être le nouveau signe de reconnaissance des cadres dynamiques ? Il y a de fortes chances.

Par contre là où je suis très sceptique, c’est quant au positionnement du produit. D’une part, ce PlayBook affiche des caractéristiques techniques très (trop ?) proches d’un laptop ; d’autre part, les illustrations utilisées sur le site du constructeur me semblent bien éloignées de l’environnement professionnel.

Mais que fait ce bébé dans un environnement professionnel ?

Concernant les usages, je reste sur ma première idée d’écran d’appoint permettant de rester en contact permanent avec ses systèmes de communication (emails, messagerie instantanée, microblog…) et le système d’information (applications métiers…). Reste encore au service informatique à développer les connecteurs et les applications mobiles pour ce type de machine, mais comme RIM est déjà très bien implanté dans le monde de l’entreprise, ça ne devrait pas poser de problèmes.

Je suis par contre plus inquiet sur la façon dont ces outils vont faire évoluer nos habitudes de travail. Je suis ainsi excédé par les participants d’une réunion qui sont le nez scotché sur leur smartphone ou leur laptop, cette tendance ne peut qu’empirer avec ces machines ultra-portables. Certes, il va y avoir un gain de le potentiel de mobilité des collaborateurs (ils restent joignables et opérationnels où qu’ils se trouvent), mais quid de leur capacité d’attention / de concentration ? Comment voulez-vous rester concentré sur la ou les tâches que vous avez à effectuer si vous ne pouvez pas vous isoler pour travailler sereinement sans être dérangé ?

La solution viendra peut-être du choix méticuleux des collaborateurs équipés de touchbooks : les directeurs de projet, coordinateurs et autres animateurs de communautés BtoB sont ainsi pleinement concernés par ce type d’outils car leur travail au quotidien repose sur la communication et les mises en relation (être plus connectés = être plus performant). Par contre, pour celles et ceux qui doivent produire (des rapports, des analyses, des livrables…) et qui ont besoin de concentration et de plages de travail favorisant l’immersion, il vaudrait mieux éviter.

Plus que jamais, le besoin va se faire ressentir de bien comprendre l’impact organisationnel de ces nouveaux outils nomades avant de les distribués comme des récompenses (en signe de gratification).

Les touchbooks BtoB ne sont ainsi que le dernier maillon d’une longue chaine d’outils et de processus favorisant la mobilité des collaborateurs. Équiper les équipes et réfléchir après aux usages me semble être suicidaire, cela risque de nuire à la productivité plutôt que de l’améliorer. L’introduction de ces outils dans l’entreprise doit se faire dans le cadre d’une réflexion approfondie sur les besoins réels et surtout sur la capacité des équipes informatiques et des processus à tirer parti de ces machines.



Éditeur: entreprise20.fr

Publié par : webmarketing-ah

READ MORE »

Cisco lance Cius, le premier touchbook BtoB

0
Amine Hmaza

Grosse surprise la semaine dernière avec l’annonce faite par Cisco du lancement de Cius, le premier touchbook BtoB : Cisco Simplifies Mobile Collaboration with First-of-its-kind HD Video-Capable Business Tablet. Ce terminal ambitionne de révolutionner notre façon de travailler et d’interagir avec une offre complète incluant les services de communication et de collaboration de Cisco.

Le Cius sur son support

Le Cius sur son support

Première chose notable : Cisco présente son touchbook comme un complément des outils traditionnels (téléphone fixe, smartphone, notebook…) et non comme une solution autonome. D’ailleurs les caractéristiques techniques de ce terminal sont plus proche d’un gros smartphone que d’un ordinateur : Système d’exploitation Android, écran 7″ avec webcam HD, communication Wifi + 3G et même 4G…

Vidéo-conférence avec le Cius

Vidéo-conférence avec le Cius

Deuxième fait notable : Ce terminal n’est pas censé accompagner les collaborateurs nomades dans leurs déplacements à l’extérieur mais plutôt accompagner les collaborateurs au quotidien dans les déplacements au sein de leur bureau (salle de réunion…). Le positionnement est donc très proche d’un iPad (qui est plus à l’aise dans votre salon que dans le bus) mais dans un contexte BtoB.

La principale fonction de ce terminal est d’améliorer les échanges du quotidien (vidéo-conférence, messagerie instantanée…) ainsi que la collaboration en intégrant les outils « maison » (Quad, Show and Share, WebEx Connect, Presence…).

Il y a plusieurs choses que je trouve très intéressantes dans ce produit :

  • Il utilise le système d’exploitation Android donc va potentiel stimuler le développement d’applications métier pour ce touchbook mais également pour les smartphones compatibles ;
  • Aucune donnée n’est stockée sur ce terminal donc cela va inciter les collaborateurs à utiliser des offres de type SaaS et cloud computing ;
  • Il s’insère parfaitement dans le S.I. de l’entreprise (grâce à AnyConnect VPN et Unified Communications Manager) donc peut dialoguer avec n’importe quel applicatif.

En termes d’usage, plusieurs scénarios sont à envisager :

  • Un téléphone 2.0 qui permet de faire de la visio même à la canine ;
  • Un écran d’appoint qui permet de consulter des données ou de faire des actions de base en réunion ou dans le bureau d’un collègue ;
  • Une fenêtre ouverte sur la vie, la conscience de l’entreprise avec les outils de microblog / social presence et le dashboard des collaborateurs.
Un vue permanente sur l'activité de l'entreprise et de vos collègues

Un vue permanente sur l'activité de l'entreprise et de vos collègues

Il est encore un peu tôt pour dresser une liste complète des usages et bénéfices de ce terminal, mais l’on sent un potentiel gigantesque notamment dans d’autres secteurs comme l’éducation : Cisco Crams Its Broad(band) Ambitions Into an Android Tablet.

Avec l’offre Cius, Cisco vient de définitivement fermer la porte à l’iPad pour les usages BtoB. Rien de bien grave car les ambitions d’Apple se situaient ailleurs, par contre le choix d’Android pourrait avoir un impact non négligeable sur l’utilisation d’iPhones en entreprise…


Éditeur: Frédéric CAVAZZA

Publié par : webmarketing-ah

READ MORE »

Le contexte de l’industrie des contenus et services numériques

0
Amine Hmaza




La prédominance d’un modèle d’affaires tiré par la publicité


Sur l’Internet fixe, le modèle d’affaires qui a largement prédominé dans les
années 2000 est un modèle économique privilégiant un accès libre et gratuit
aux contenus pour constituer une audience rémunérée par la publicité. Ce
modèle dominant s’est rapidement imposé sous l’impulsion des moteurs de
recherche et des portails, dont il servait à l’évidence les intérêts.
Pourtant, un modèle complémentaire de revenus de contenus et de services
payants s’est progressivement développé sur l’Internet fixe chez certains éditeurs
et, de manière beaucoup plus répandue, sur les mobiles avec les kiosques des
opérateurs Télécom (SMS+, Gallery...).
En dépit de la résistance des consommateurs à payer des contenus, de la
persistance de contenus concurrents gratuits et du scepticisme des médias, des
offres de solutions de paiement simples se sont créées pour permettre à ces
éditeurs de «monétiser» leurs contenus.

La généralisation d’un modèle d’affaire «Freemium» mixte


Avec le temps, le modèle “tout publicitaire” tant vanté outre-Atlantique comme
modèle de référence sur l’Internet fixe apparaissait de plus en plus difficilement
réplicable dans les pays européens où le bassin d’audience, comme les
ressources publicitaires, sont significativement moindres.
Les années de crise économique (2008-2010) ont montré ensuite combien
la dépendance à une source de revenus unique (la publicité) pouvait être une
stratégie risquée en période de récession où les revenus publicitaires sont les
premiers à refluer.
De nombreux éditeurs ont finalement infléchi leur stratégie pour diversifier
leurs revenus, faisant généralement coexister modèle d’affaires «payant» et
«gratuit», créant même pour l’occasion, un néologisme : le «Freemium».

Vers une industrie forte des contenus et services numériques payants


En parallèle, le lancement par Apple de l’iPhone en Juin 2007 et le développement
de la 3G permet enfin l’essor de l’Internet mobile. La mise en oeuvre d’un
écosystème autour d’une marketplace (Appstore) vite imitée par d’autres (Sony,
Microsoft, Google, etc...) conforte le modèle des kiosques poussés par les
opérateurs et dynamise l’industrie des contenus et services numériques.
Les éditeurs de presse, tout au moins ceux qui n’avaient pas jusque là de
formule payante, lancent leurs offres tarifaires en complément de leur édition
du jour gratuite. Le secteur de la musique en ligne, aidé par la loi Hadopi,
multiplie les services d’écoute légale en ligne ouverts à tous en même temps
qu’il propose des formules payantes, sur mobile ou sur Internet, le plus souvent
par abonnement.
Le secteur des jeux et des paris en ligne qui réalise déjà près d’1 Milliard d’euros
en 2009 (et probablement autant à travers des sites illégaux) se structure pour
développer un marché porté par la dérégulation récente du marché. Les petites
annonces de tous types (immobilier, automobile, rencontre, etc.) poursuivent de
leur côté leur croissance avec un modèle mixte gratuit/payant pour l’annonceur.

Éditeur: l’AFMM (Association Française du Multimédia Mobile)

Publié par : webmarketing-ah

READ MORE »

Panorama Ecommerce

0
Amine Hmaza




Check out this SlideShare Presentation:



Éditeur: Slideshare

Publié par : webmarketing-ah

READ MORE »

M-marketing : indicateurs clés du marketing sms et livre blanc du marketing mobile

2
Amine Hmaza

Les smartphones représentent aujourd’hui plus d’un utilisateur mobile sur 5 (21,3%) ! Associé à l’information que 48% des mobinautes ont opté pour un forfait internet mobile illimité, on comprend désormais d’où vient la tendance du web mobile !



Les internautes se connectent de plus en plus souvent à partir de leur mobile :

  • 48,5% des personnes interrogées se seraient déjà connectés à Internet depuis leur mobile et 31,8% à l’avoir fait au cours du dernier mois
  • 55% des personnes qui consultent Internet via mobile, les mobinautes, se connectent toutes les semaines

L’Association Française du Multimédia Mobile (AFMM), en partenariat avec Médiamétrie, vient de diffuser l’étude Indicateurs clés du multimédia mobile et marketing par SMS en 2010 :

Les services SMS+ et MMS+ permettant aux sociétés de proposer des services grâce à des numéros à 5 chiffres se démocratisent, les utilisateurs étant intéressés par ces services SMS.



Cet intérêt est encore plus important lorsque le SMS est lié à une offre commerciale à proximité du destinataire. Ces SMS géolocalisés présenteraient un plus grand intérêt pour les mobinautes.

Éditeur: ITR News

Publié par : webmarketing-ah

READ MORE »

Google Voice lancé officiellement aux Etats-Unis

0
Amine Hmaza

Google Voice vient d’être lancé officiellement aux Etats-Unis et ouvert à tous après une première période d’inscription sur invitation. Google Voice permet d’avoir un numéro unique qui peut être redirigé selon vos paramétrages sur un ou plusieurs de vos numéros. Toute une panoplie de services est également proposée pour faciliter la gestion de son numéro unique…

Un numéro unique, une messagerie disponible en ligne et des appels vers les Etats-Unis et le Canada gratuits sont les 3 principaux atouts mis en avant par le moteur pour son service Google Voice.

Pour l’histoire, en 2007 Google a acquis deux sociétés : GrandCentral sur lequel le service a été créé et Gizmo5 une alternative à Skype qui a terme sera intégré à Google Voice pour proposer un service plus large.

Google présente le service comme une évolution logique dans l’histoire de la téléphonie représentée par ce schéma :

actualites des moteurs : Google Voice lancé officiellement aux   Etats Unis

Parmi les options intéressantes proposées par Voice, on retrouve :

  • La possibilité de transcrire un message vocal en texte et de le recevoir par email ou par sms.
  • L’option filtrage des appels qui une fois activée demandera aux appelants de laisser leur nom, celui-ci vous sera ensuite transmis pour que soyez à même de décider de répondre ou nom. Cette option donne une solution intéressante pour contrer les numéros masqués.
  • L’enregistrement de n’importe quel appel en pressant la touche 4 à tout moment.
  • Les conférences téléphoniques jusqu’à 4 personnes.
  • L’intégration du service avec les contacts Gmail.

Pas de précisions concernant l’arrivée de ce service dans les autres pays dont le notre mais on se doute bien que Google y travaille déjà.

Éditeur: Readwriteweb

Publié par : webmarketing-ah

READ MORE »

La gestion des affaires sur Internet

0
Amine Hmaza


Le développement des Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication (NTIC) et l'utilisation croissante d'Internet a profondément modifié les outils de gestion utilisés par les entreprises et, par delà ceux-ci, la nature de leurs relations avec leurs partenaires (clients, salariés, fournisseurs, administrations, etc.). Derrière le développement des nouvelles technologies se profile l'émergence de nouveaux modes d'organisation prenant appui sur celles-ci.

Dans ce contexte, est qualifiée d'E.-management l'intégration, au sein de l'entreprise, d'outils basés sur les nouvelles technologies de l'information et de la communication, pour en améliorer le fonctionnement.

Une entreprise rentre dans le cadre de l’E-business dès lors qu'elle met en œuvre une nouvelle organisation tirant partie des nouvelles technologies. Ce terme ne concerne donc plus seulement les "entreprises virtuelles ", mais, également, les entreprises traditionnelles.

Les affaires électroniques consistent à utiliser les technologies d'Internet pour fournir un service de qualité à la clientèle, rationaliser les processus opérationnels, augmenter les ventes et réduire les coûts. Les affaires électroniques utilisent des outils comme le courriel, les solutions de services bancaires en ligne, les sites Web, les logiciels de gestion des chaînes d'approvisionnement et les solutions Web de gestion des relations avec la clientèle.

Le commerce électronique et les affaires en ligne

À la base, le commerce électronique consiste à utiliser Internet pour vendre les produits et les services des entreprises. Il s'agit bien plus que de transformer Internet en un réseau de ventes en ligne. Grâce à l'automatisation et à d'autres outils, le commerce électronique vous aide à élargir votre réseau de clients et à réduire vos dépenses liées à la vente.

Le commerce électronique comprend les activités suivantes :

  • les transactions commerciales effectuées par Internet, téléphone et télécopieur
  • les services bancaires et les systèmes de paiement électroniques
  • le commerce de biens et services numérisés
  • les systèmes électroniques d'achat et de reconstitution des stocks
  • l'échange de données entre entreprises
  • la livraison de biens et/ou de services achetés
  • le service à la clientèle.

Les petites entreprises peuvent également se lancer en commerce électronique par le biais du cybermarché. Ces sites, centres d'approvisionnement destinés à des industries et à des entreprises spécifiques, sont souvent conçus pour aider les grandes entreprises à regrouper leurs chaînes d'approvisionnement et à réduire leurs dépenses d'approvisionnement. Ils permettent de créer de nouvelles occasions de vente pour les petites entreprises, et même de leur donner accès à des contrats lucratifs de la part des grandes entreprises.

Approvisionnement électronique et les affaires en ligne

L'approvisionnement électronique est l'inverse du commerce électronique : au lieu de faire appel à Internet pour optimiser vos ventes, vous vous en servez pour optimiser vos achats. L'approvisionnement électronique réduit les dépenses des petites entreprises tout en augmentant leur efficacité globale. Une entreprise peut se servir d'Internet pour comparer les prix d'un large éventail de fournisseurs, pour ensuite pouvoir négocier les meilleurs prix possible.

Les cybermarchés sont au cœur de la stratégie d'approvisionnement électronique. Par exemple, une entreprise annonce ses besoins sur un site et différents fournisseurs lui font ensuite une offre d'achat. Elle analyse alors ces offres pour déterminer quel fournisseur répond le mieux à ses besoins.

En outre, une entreprise peut se servir de l'approvisionnement électronique pour automatiser les opérations longues et coûteuses liées aux achats. Les bons de commande et les autres documents commerciaux peuvent être envoyés par Internet, et les factures et les reçus acheminés aux services appropriés par courriel. L'entreprise peut facilement accéder aux historiques de commandes, ce qui lui permet de mieux prévoir ses dépenses.

Comment les affaires en ligne vous aident-elles?

Les affaires électroniques peuvent profiter à tous les types d'entreprises. Elles ne se limitent pas aux produits et services axés sur la technologie; les entreprises dans tous les domaines font des affaires en ligne. Le réseau au moyen des affaires électroniques peut être appliqué à tous les aspects des activités d'une entreprise, notamment le marketing et les ventes, les achats et la logistique, la production, la conception et l’ingénierie. C'est lorsque plusieurs de ces fonctions sont combinées que les affaires électroniques sont utilisées le plus efficacement.

Les affaires électroniques, ou cyberaffaires peuvent aider votre entreprise à :

  • réduire le coût et le temps des transactions;
  • gagner du temps et économiser de l'argent en améliorant les fonctions internes et externes;
  • simplifier la gestion des chaînes d'approvisionnement internes et externes;
  • faire de la promotion, de la commercialisation et de la vente aux quatre coins du monde et en tout temps au moyen d'un site Web;
  • mieux gérer vos activités de soutien client, de communications et de relation avec les clients;
  • faire concurrence aux autres entreprises de toutes tailles à l'échelle mondiale sans avoir à établir de bureaux dans d'autres pays.

Conclusion

Les affaires électroniques peuvent rendre votre entreprise concurrentielle vis-à-vis d'entreprises bien plus grandes. Votre marché peut être le monde entier et Internet permet d'atteindre ce marché facilement. Il se peut que vous soyez de ceux qui ne croient pas que leur entreprise doive faire des affaires au niveau mondial ou même inter-provincial. Pensez-y à deux fois, car les affaires électroniques peuvent vraiment vous être profitables.


Éditeur: webmarketing-ah

READ MORE »